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Paroles de Femmes

Statut de la femme algérienne, début du 20ème siècle

jeudi 1er avril 2010, par Frederic Praud

Vous pouvez vous procurer l’intégralité des témoignages de femmes dans l’ouvrage réalisé par Frédéric Praud. Il est disponible sous sa version PDF à cette adresse internet :http://www.lettresetmemoires.net/ainees-parisiennes-content-leur-vie-et-leurs-combats-femmes-au-cours-20eme-siecle.htm

Avant de se libérer des tabous culturels, la femme n’était considérée que comme un objet, un robot sans intelligence, sans réaction, trop marquée par la crainte pour se défendre. Il lui fallait se taire, accepter son destin, en un mot être soumise…C’était le cas des générations de ma mère et de ma grand-mère.

D’abord au niveau du mariage : jamais un couple ne s’unissait par amour. C’était un péché de fréquenter. La jeune fille ne devait pas connaître son futur. Elle ne le voyait qu’après la nuit du mariage, qu’après la consommation du mariage. Le mariage était fait pour procréer. L’enfant arrivait vite dans l’année sans cela la femme n’était pas bonne pour fonder un foyer et répudiée, renvoyée chez ses parents. Il fallait avoir un enfant dès l’année même du mariage pour avoir une existence sociale.

Les accouchements étaient rudimentaires. Lors de l’accouchement, beaucoup de jeunes mamans décédaient du tétanos par manque d’hygiène. Elles accouchaient accroupies par terre, la jupe descendue jusqu’au sol, car tout le monde assistait, aussi bien la famille que les voisins. J’ai vu mourir une connaissance qui venait d’accoucher de son 6ème enfant, dans le bled en Kabylie.

Il n’y avait pas de crèche. L’école primaire accueille à partir de six ans. Dans la plupart des familles, il n’y avait pas de place pour l’éducation des filles, seuls les garçons étaient admis à l’école. Les parents ont, à la longue, envoyé leurs filles à l’école à condition que les établissements ne soient pas mixtes. On a créé des établissements pour les filles avant de mettre en place l’école obligatoire mixte. Les mamans faisaient réciter les leçons aux enfants quand ils revenaient de l’école. Elles les encourageaient ainsi à ne pas rester dans l’ombre. Les hommes perdaient un peu de leur statut en envoyant leurs enfants, leurs filles à l’école.

Les mamans, le jeudi et le dimanche, initiaient leurs filles aux tâches domestiques, à rouler le couscous, pétrir la galette d’orge ou de blé, traire les vaches, les chèvres, tisser, carder, filer la laine des moutons pour faire des couvertures, des burnous avec des métiers rudimentaires installés dans la chambre, la seule pièce.

A l’adolescence, à 14/15 ans, dès que la poitrine commençait à gonfler, les filles ne devaient plus sortir. Il fallait les marier. C’est la raison pour laquelle les jeunes filles qui commençaient à avoir de la poitrine se la bandaient très serré pour la cacher et conserver un peu de « liberté ». Celle-ci était d’ailleurs très relative. Aucune sortie ne se faisait sans chaperon, toujours un homme derrière. Le père suivait, avec un bâton et gare à celles qui regardaient à droite ou à gauche ! De toute façon, tout l’entourage dénonçait les comportements suspects des jeunes filles : aussi bien les femmes que les hommes.

On lui imposait à mari. Quelques fois battues par l’époux, riche, vieux, jaloux… les femmes se résignaient. Elles ne pouvaient rien dire parce qu’il avait le droit d’avoir 4 femmes à la maison. La religion n’acceptait pas le divorce.

Il fallait vraiment qu’une femme soit très très malheureuse pour demander le divorce. Il y avait parfois des divorces, mais c’étaient les hommes qui le demandaient, jamais les femmes. Ils fixaient les conditions et avaient toujours gain de cause.

Enfin arrivent les années d’ouverture… les femmes ont eu accès à tous les emplois manuels, intellectuels, beaucoup sont devenues enseignantes dans les écoles maternelles, ou vendeuses dans les magasins… Les progrès se sont fait sentir dans tous les domaines…

Des filles éduquées…

La femme algérienne était au foyer, s’occupait du ménage, faisait réciter les leçons. Ma mère était le pilier du foyer.. avait un rôle à l’intérieur de la maison. Mon père était écrivain public, ma mère femme au foyer…

Ma mère m’a éduquée pour être plus libre qu’elle. Je suis née en 1918 en Kabylie… Maman me disait, "il faut aller à l’école ma fille. Il faut travailler si tu veux ta liberté, il faut vraiment être instruite, avoir de la culture. Il ne faut pas rester à la maison. Tous les travaux à la maison, il faut les apprendre mais c’est l’école le plus important." C’est comme ça que j’ai pu être une bonne élève jusqu’au Certificat d’Etudes, avoir ma sixième, rentrer au lycée. Mon père insistait "Je n’ai que deux filles, il faut que je les pousse à devenir quelqu’un." J’ai pu obtenir une bourse pour être pensionnaire en ville, pendant six ans…

Les gens du Bled jasaient sur le fait qu’une fille parte... Qu’est ce qui va lui arriver ? On ne pouvait généralement pas partir seule. Nous étions trois algériennes dans ce grand lycée. Elles ont réussi grâce à leurs parents qui les ont poussées et aux mamans courageuses.

On ne pouvait sortir de la pension qu’aux grandes vacances. J’arrive du bled et ne connaissais pas la ville. J’étais un peu perdue. Comment faire ? Comment faire ? Je me suis habituée grâce à une amie algérienne, Nafissa, qui m’a beaucoup aidée. J’ai eu mon baccalauréat… la délivrance. J’étais libre de sortir sans tabou, sans être critiquée, responsable de ce que j’allais faire

Mon futur mari venait me voir au lycée, en pension. Il m’apportait des fleurs, des gâteaux. Il m’écrivait. Mes parents avaient donné l’autorisation à la directrice pour que ce jeune homme puisse m’écrire.…Ils voulaient nous unir. Nous nous sommes mariés.
Mon mari était médecin militaire engagé. Il était au front, Cassino en Italie, prisonnier en Allemagne. Il est rentré démobilisé et a repris son cabinet médical.

A chaque permission, il me collait un enfant… Je deviens plus tard veuve avec six enfants… Je me suis relevée grâce à ma culture. J’ai pu les élever tous grâce à mon travail. Veuve avec un emploi les gens ont cessé de jaser. "Elle travaille pour élever ses gosses." Je suis devenue enseignante dans un lycée français. Mes enfants ont pu faire des études et j’étais heureuse de les voir grandir.

Au moment de la révolution, les élèves algériens allant dans les écoles françaises étaient menacés de mort par les révolutionnaires. Il a fallu que ma fille aînée suive ses études par correspondance. Elle a obtenu le Brevet élémentaire, puis est devenue enseignante. Elle me donnait sa paie pour m’aider à élever ses frères et sœurs. Elle a obtenu le prix Larbalette destiné aux orphelins de médecins méritants. On travaillait toutes les deux pour élever notre petite famille. Mon mari avait souscrit une assurance vie dont une partie m’a aidé à élever ses enfants.

Institutrice pendant l’année, j’ai obtenu par un cousin un poste d’infirmière de colonies de vacances à Anthony pendant les vacances. Je venais avec ses enfants qui faisaient les animateurs de la colonie. Pendant la révolution, j’avais été infirmière chargée de l’hygiène scolaire dans les villages avec un médecin.
Les gens voyaient une des leurs, une algérienne. Ils comprenaient mieux. Je parlais la même langue et pouvais expliquer aux parents. Je n’étais pas une étrangère.

Les femmes algériennes revendiquaient mais c’était toujours l’homme qui dominait. Elles travaillent dans la couture et élevaient leurs gosses. Elles ont poussé leurs filles à aller à l’école. Le droit de vote était une avancée, mais on a toujours eu l’impression que les votes étaient tronqués… toujours… Il n’y a pas eu de différence de statut de la femme entre avant et après l’indépendance de l’Algérie. J’ai cru que l’indépendance allait nous donner un pays, une terre, une patrie. Il y eut des revendications féministes mais elles ne nous ont rien donné. Il nous reste à faire beaucoup de choses, à lutter encore….

récit collecté par :

frederic.praud@wanadoo.fr

parolesdhommesetdefemmes@orange.fr

Vous pouvez vous procurer l’intégralité des témoignages de femmes dans l’ouvrage réalisé par Frédéric Praud. Il est disponible sous sa version PDF à cette adresse internet :http://www.lettresetmemoires.net/ainees-parisiennes-content-leur-vie-et-leurs-combats-femmes-au-cours-20eme-siecle.htm


Voir en ligne : La Bande Dessinée : Les Migrants

Messages

  • bonjour,
    voila je veux dire que chaque chose a son temp,vous parler de la femme algerienne comme ci elle a vecu toute sa vie dans l’enfer et voila le grand jour vient et le paradis ouvre ses porte c’est pa ça il faut savoir au niveau que l’algerie a atteins actuellement on peut dire que c’est un tres grand pas pour un avenir meilleur avant de parler de l’algerie il faut regarder l’histoire la femme n’a jamais ete a la touche elle aussi a jouer un role tres important dans la liberation de l’algerie.son oublié notre religion et nous coutume et tradition tous ça jouent un role tres important.tous ce que je peus dire qu’on ete libre mais de notre façon a l’algerienne.chacun est satisfait de sa vie.mais aussi avant les gens ne connais pas leur droit.alors il faut etudie tous ses cote pour comprendre pourquoi tous ce retard pour enfin la femme algerienne parle et demande d’avoir ses droit comme tous les femme du monde.

  • vous savait je suis algerienne mais né en france j’ai été elevé a la français,alors je voulé savoir quel rôle joué la femme algerienne,car ma mère me dirait tjr tu a une chance de vivre en france, de faire des étude car si tu été au bled tu serait marié avec au moin 2 enfants.je me dit c’est vrait car ma mere c’est marié a 19 ans avec mon pere, en plus il ne ce connaisé mm pas bref il se son marié eu mon frére en algerie puis mon pére et venu en france en laissant ma mere la bas il a trouvé du travaille, il est revenu au bled et a ramené ma mere en france,ma mere avais du mal a s’adapté car elle ne savait mm pas parlé français mais bon que se soit en algerie ou en france les tradition algerienne ne changé pas ma mere resté a la maison s’occuper de ns car on été 8 enfants mon pere travaillé et rentré la table tjr prète il mangé puis regardé la télé.voila c’étais ca le rôle de ma maman de faire le ménage et a manger.ma mere je la respect pour tous quel nous a fais l’éducation et l’amoure quel nous a donné car je trouve que c’est la mere qui joue un grand rôle dans la familles

  • toutes les filles n’ont pas vecues comme vous le decriviez je suis d’un village de tiaret l’" ecole ou j’etais la mixité etait autorisée de la maternelle ,moyen ,secondaire ;université tout depend de la region ou on a vécutoutes les filles n’ont pas vecues comme vous le decriviez je suis d’un village de tiaret l’" ecole ou j’etais la mixité etait autorisée de la maternelle ,moyen ,secondaire ;université tout depend de la region ou on a vécu€toutes les filles n’ont pas vecues comme vous le decriviez je suis d’un village de tiaret l’" ecole ou j’etais la mixité etait autorisée de la maternelle ,moyen ,secondaire ;université tout depend de la region ou on a vécu

  • Je suis personnellement d’accord avec celle qui a écrit l’article. Le statut de la femme algérienne est resté inchangé depuis toujours, et l’indépendance n’y a rien fait. Je ne voudrais pas provoquer de polémique, mais moi qui suis née en France et suis d’origine tunisienne, je me suis longuement intéressée à l’histoire des femmes dans mon pays d’origine. J’ai voulu comparer leur statut dans les autres pays du maghreb, et laissez moi vous dire qu’en Algérie c’est le pire. Aucune considération pour la femme... Mais d’abord ces hommes connaissent-ils la valeur même de la femme ? Une femme est une mère, une soeur, une amie, un trésor que ces hommes trop entêtés n’ont jamais su révéler à sa juste valeur. Quand je lis l’article posté sur ce site, je ne peux que me désolé sur le sort de mes mères, soeurs, amies femmes algériennes.

    Tout ce que j’éspère c’est que les hommes modernes ne renouvellent pas les erreurs de leurs ancêtres et aillent de l’avant. Voila je suis pleine d’espoir pour le lendemain...

    Avec tout mon coeur, à toutes les femmes du monde...

  • Moi je suis complétement d’accord avec la dame qui a écrit l’article.Je connais beaucoup de personne algériennes qui ont vécu se style d’histoires voir pire.Pourquoi ces hommes algériens trafiquent ils le coran ? On devraient tous les guillotinés je vous jure. Nous devons leurs donner de bonnes lecons ils ne savent pas encore que la femme est un trésor.Hey amel jte jure ta trop raison walah, c’est des fou c’est algerien ils sont toujours la pour foirés la réputation des arabes,et des musulmans. Qu’ils aillent se faire soignés

  • Bonsoir
    Malheureusement les faits sont la les conditions des femmes en Algerie sont inchangés , elles sont mineur a vie ! comme un enfant mineur qui n est pas capable de prendre ces propre décisions ou un handicaper mental que l on met sous tutelle .
    Le code de la famille est la pour nous le faire rappeler a chaque moment .
    Et malheureusement certaines femmes par " fierté " refuse de dire et de faire les choses qui ferons que nous avancerons dans le bon sens .
    Beaucoup de femmes acceptée leurs sorts ce qui moi me révolte c est de faire ou d accepter des choses inacceptable sans jamais penser que ces femmes la pourraient être nos soeurs , nos filles et nos mères .
    Ma mère a vécue c est choses la , moi même est vécue cela .
    Je dis " Stop " ma fille ne vivras pas cela .
    Ou est il écrit que la femme ne peux pas réfléchir et prendre des décisions ? surement pas dans le Coran .
    En algerie beaucoup de femmes ont prouvés leurs valeurs ,leurs force " mentale " mais leurs situations ne change pas .

  • Bonjour,
    http://www.marrakechaparis.com

    N’ oublions pas que les femmes participent à faire perpétuer ce model à travers l’éducation des enfants.

  • Je lis des femmes qui évoquent le coran pour justifier qu’elles mériteraient le respect. Or le discours des religieux musulmans ne va jamais dans ce sens. Pourquoi aucun discours de chefs religieux, compte tenu de l’influence qu’ils peuvent avoir sur le peuple du fait de leur érudition des textes sacrés ne va dans le sens d’un nouveau postulat pour la femme musulmane ? J’ai en fait plutôt l’impression que les textes religieux insufflant à la femme une contenance autre que pondeuse ou cuisinière sont tout bonnement absent du coran et que celles qui se rendent compte de la soumission à laquelle elles sont réduites en comparaison avec les femmes d’ailleurs dans le monde, refuse de rompre avec cette religion par sens de la tradition communautaire alors que leur salut, je le crains ne pourra jamais venir de cette religion. Athéisme ou religion ancestrales des territoires concernés avant l’invasion autoritaire de l’Islam conquérant en Afrique du Nord, ne pensez-vous donc pas que la libération de la femme ne pourra pas être musulmane à partir du moment où aucun chef religieux de l’Islam ne prêche en ce sens ?

  • Bonjour tout le monde

    avant de commencer je voudrais remercier les gens qui ont éditer cet article parceque il nous aide vraiment dans nos recherches,puisque je suis entrain de préparer mon mémoire de fin d’étude en licence de français sur la littérature féminine algerienne et c’est pour cela que je voudrais donner mon petit mot sur l’historique de la femme algerienne en particulier et maghrébine en général.

    la femme a subi dés les prmiers temps des pressions de la part des hommes et des religions.

    elle s’est faite passé deçu par tous elle a souffert entre ces mains qui n’ont pas su la présérvé en tant que femme ,fille ou meme soeur les hommes ont pris la religion comme moyen de pression et non pas de libération pour cet etre si calme qu’est la femme avec sa tendresse son amour pour son mari et ses enfants pour toute sa famille et surtout pour le respect qu’elle porte a son mari bien sur les temps ont changés depuis et comme on dit nous musulmans hamdoullah dieu merci on a su prendre le dessu des choses et puisque actuellement on voit des femmes sur le devant des inombrables scènes ,elles sont partout ,et cette libération des entrailles des hommes n’a pas encore atteint le sommet mais j’éspère qu’un jour on y arrivera a le faire .j’exhorte enfin toutes les jeunes femmes de mon age "22ans" ou moins et meme celles qui sont plus agées que moi à étudier parceque c’est une telle délivrence et une paix que d’avoir un diplome dans sa poche et une culture ainsi qu’un savoir dont on pet toutes etre fiere

    merci d’éditer mon message et merci encore pour les information que vous nous avez fourni

    lilia

    • Bonsoir,
      je suis étudiante dans un institut de cadre de santé et je prépare un mémoire en lien avec l’identité du cadre de santé d’origine Algérienne et les repérésentations de son équipe sur lui.
      Je recherche des documents sur la place de la femme Algérienne et son évolution dans la sociéte française. La reconnaissance dans le monde du travail.
      Merci d’avance pour votre réponse.
      Zoya

    • bonjour,

      Bien que je rejoigne ceux et celles qui ont précédemment écrit au sujet de cet article, je dois préciser que les aspirations de la femme algérienne d’aujourd’hui convergent vers une pseudo occidentalisation agrémentée d’arguments fallacieux dont l’impact pour la plus part d’entre elles, c’est le dévergondage et la licence des moeurs.

      Après 1962, jusqu’à 1985, la femme algérienne s’est certes distinguée par sa lutte accrue contre la soumission et contre la discrimination en s’instruisant, en s’imposant et en s’impliquant dignement et surtout en enseignant et en transmettant les valeurs acquises. Son combat a relativement donné ses fruits. Mais, hélas, trois fois hélas ! peu à peu, elle s’est éloignée du but fondamental de sa lutte et s’est e dangereusement lancée dans une compétition contre les hommes qu’elle considère comme des rivaux. Beaucoup d’entre elles que j’ai cotoyées, soutiennent que le mariage est un simple accessoire et qu’il ne doit plus être considéré comme une acte solennel entre deux êtres qui ont décidés de s’unir pour le meilleurs et pour le pire jusqu’à leur mort, mais comme une simple formalité qui pourra être éventuellement rompue au besoin, comme un nouvel instrument leur permettant de quitter plus aisément le bercail pour vivre la grande LIBERTE.

      Je sais que ces propos ne vont pas plaire à tous, mais c’est la triste réalité, croyez moi, en connaissance de cause. Je suis moi même une femme et, compte tenu de ce que je vois autour de moi, notamment la légèreté avec laquelle les femmes parlent de divorce et les actes d’infidélité qu’elles osent qualifier d’émancipation et dépanouissement sexuel, je m’inquiète sur le devenir de la famille algérienne qui est en train de s’effriter de jour en jour.

    • Bonjour,
      je suis de paris match et je suis à la recherche de leila Kadi, mannequin puis combattante du FLN. est ce vous ?
      si c’est le cas, pouvez me contacter directement s’il vous plait :

      rclergeat@hfp.fr

      merci

    • {{}}POUR LEILA KADI

      Bonsoir Madame,
      simple question de curiosité, votre nom m’a interpellé.
      J’ai entendu parler d’une Leïla Kadi qui vivait à Paris et serait retournée en Algérie en 1962, surnomée "Yasmina". Je me trompe surement de personne, j’imagine qu’il doit y avoir de nombreuses "Leïla Kadi". Dans le doute ...
      J’espère obtenir une réponse de votre part,
      Cordialement,

      Tania

  • bonjour ;
    c’est la situation de toute les femmes algérienne, manque d’égalité, la liberté.......
    Moi je prépare un mémoire sur les inégalités des sexes en algerie, j’aimerais bien c’est vous ouvez m’aider par quelque doccumentation. par exemple la plce des femmes dans la religion
    voici mon E-mail:litty2020@yahoo.fr

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